lundi 31 janvier 2011

bye jb



Le compositeur britannique de musiques de film John Barry, qui avait remporté cinq Oscars et s'est fait connaître notamment pour la musique des James Bond, est mort d'une crise cardiaque, à l'âge de 77 ans, a rapporté lundi la BBC.

On lui doit entre autres les musiques de plusieurs James Bond (Bons baisers de Russie, Goldfinger et On ne vit que deux fois) et d'autres films comme Out of Africa, Danse avec les loups ou Vivre libre. Il était aussi l'auteur de la musique de la série télévisée Amicalement vôtre.

Source lemonde.fr

jb&jb london 1965

jeudi 27 janvier 2011

le viagra qui vaut de l'or

800 dollars pour 28 grammes, les New-Yorkais âgés se l'arrachent et le "yarsagumba" ou "dong chong xia cao" qui ne que coûtait 6,50 dollars il y a quelques années encore est devenu hors de prix et le remplaçant incontestable du Viagra pour les habitants de la grosse pomme.
Cet aphrodisiaque se déniche sur la route de l'Annapurna, tous les habitants des petits villages perchés sont à la recherche de cette merveille qui en tapisse les sols : le petit ver à soie orange, contaminé par un champignon qui finit par le tuer et lui conférerait ainsi ses vertues érectiles.
Tout ce folklore pourrait être sympathique et salvateur pour certains... Mais ce que rapporte le New York Post est nettement moins amusant, et malheureusement cette envolée du petit ver a provoqué des rivalités grandissantes entre petits villages népalais. En juin 2009, 65 villageois du clan Menang, armés de gourdins, ont attaqués des braconniers du ver d'une autre tribu. Résultat : sept morts, jetés sans vergogne dans une fosse ou coupés en morceaux, la justice donnera son verdict le mois prochain, 35 personnes ont déjà été inculpées.
Bander tue.

poland is far away from heaven




Un collectif (pms collective) essaie d'égayer les routes enneigées de Pologne...mouaich.

mercredi 26 janvier 2011

boulevard







Encore aime Katy Grannan et avait publié sur l'ancien blog son étrange série "The Westerns" portraits de transexuels de la côte ouest. Elle revient avec une série intitulée "Boulevard" tout aussi bizarroïde, on adore.

Boulevard / Fraenkel Gallery - San Francisco / du 6 janvier au 19 février

mardi 18 janvier 2011

attention cyclone



A-10 Cyclone Rends ou le masturbateur High Tech. Rien que le nom fait peur.
Après les robots de cuisine , les robots aspirateurs, voici le robot sexuel qui fait des fellations.
La marque Japonaise Rends vient de lancer en France la commercialisation de sa "plus belle création": le masturbateur A-10 Cyclone.
Et une pipe en plastique une! Vous reprendrez bien des sushis...On a mal pour vous messieurs.

encore loves sandie shaw

flokati






Encore en veut un pour son nouveau salon!!!

autour de l'extrême


"Autour de l'Extrême" renvoie à une des constantes de la création contemporaine qui tend à repousser inexorablement les limites, qu'elles soient sociales, politiques, esthétiques ou scientifiques. À travers l'oeuvre de nombreux photographes, l'exposition explore tous les territoires du visible, de la conquête de la lune aux conflits les plus récents, en passant par la recherche médicale ou les expérimentations autour du corps et de ses représentations. Mais rendre visible la transgression, c'est paradoxalement la rendre acceptable. Face à l'extra-ordinaire, la photographie a le pouvoir de banaliser le réel. Ainsi, ce qui est donné à voir dans ces images n'est le plus souvent que l'approche de l'extrême, cet "autour" qui le met à distance. Dès lors, à travers la collection de la MEP défile non un spectacle du pire, mais une anthologie de l'extrême, une esthétique que seul le balancier de l'histoire pourrait, à un moment ou un autre, refigurer.

On peut y retrouver les travaux notamment de Helmut Newton, Andres Serrano, Nan Goldin, Larry Clarck, Bernard Pierre Wolff, Marc Riboud, Diane Arbus, Seymour Jacobs et bien d'autres...Malheureusement des photos déjà "archi-vues", Encore a été un peu déçu.

MEP-paris / jusqu'au 31 janvier

Source MEP-fr / Seymour Jacobs, Brighton Beach, 1975.

samedi 15 janvier 2011

wet

Snoop Dogg vient d’écrire une chanson pour le prince William et a manifesté son envie de la chanter lors de l’enterrement de vie de garçon du jeune homme.

Depuis l’annonce du mariage de William avec Kate Middleton, c’est l’effervescence dans le royaume britannique. Certains chanteurs comment Tom Jones ont déjà exprimé leur envie de chanter lors de la soirée des noces. D’autres seront peut-être sollicités comme Elton John, Mike Jagger ou Paul McCartney. Mais s’il y en a bien un auquel on ne pensait pas, c’est bien Snoop Dogg. Avant de savoir s’il sera de la fête de mariage, le rappeur tente de taper l’incruste à l’enterrement de vie de garçon de William.

Et pour obtenir son ticket d’entrée, Snoop Dogg a dédié au prince une des chansons de son dernier album Snoop Doggumentary Music. Intitulée Wet.

mardi 11 janvier 2011

women are heroes

Après l'expo, le film! Le premier long métrage de JR, tiré du projet Women are heroes sort en salles ce mercredi.

the devil in miss jones



Extrait du célèbre porno The devil in Miss Jones de Gerard Damiano où Georgina Spelvin taille une pipe à un serpent. Combien de boas pour la prise?...on sait toutefois que l'actrice est toujours vivante, et elle raconte Miss Jones dans la vidéo du Paradise Circus de Massive attack.

crazy horse, la pin-up au pinacle


Du vulgaire à l’érotico-chic, il n’y a souvent qu’une plume, une descente d’escalier langoureuse, un mot. Cette nuance, par exemple, que les stars du New Burlesque revendiquent, entre le strip-tease et l’effeuillage.

La tendance déferle en ce moment dans les salles, le spectacle Cabaret New Burlesque au théâtre de la Cité internationale en tête. Mais quand elle inspire une grande maison de vente, Cornette de Saint-Cyr, on marche plus sur les pas (talons aiguilles) de Dita Von Teese que de Dirty Martini. Les samedi et dimanche 22 et 23 janvier, la maison organisera sa quatrième vente aux enchères sur le thème de la pin-up. Cette année, elle échange les lignes épurées de l’hôtel Drouot pour les clairs-obscurs capitonnés du Crazy Horse, dans le VIIIe arrondissement de Paris.

"C’est le lieu est plus adapté, confie Pierre Cornette de Saint-Cyr. Plus qu’une vente aux enchères, nous voulions créer un spectacle. Et on a eu cette idée d’aller au Crazy Horse, qui a trouvé l’idée excellente." A cette occasion, les amateurs feront un petit retour dans les années 60-80, la vente faisant la part belle aux œuvres d’Aslan, connu notamment pour son célèbre buste de Brigitte Bardot. Le sculpteur et dessinateur avait mis son goût de "l’intimiste hyper-figuratif" au service du magazine Lui de 1963 à 1981. La revue "pour hommes" bon genre avait collaboré avec plusieurs grands noms : Boris Vian ou François Truffaut, pour ne citer qu’eux. Erotique mais chic et un brin artistique donc, le catalogue, consultable sur le site de la maison de vente, est plutôt varié : des pastels surannés aux traits de crayons les plus mordants, des vraies pin-up années 50 de Peter Driben aux femmes lascives d’Ingrid Liman, qui rappellent les lithographies d’Alphonse Mucha, il y en a pour tous les goûts. Philippe Chevallier, Pierre Laurent Brenot, Guy Le Baube ou Okley sont aussi de la partie.

Fidèle à l’air du temps, le commissaire-priseur décline le thème en toute légèreté : "La pin-up, c’est une vision de la femme décalée, drôle. Il n’y a rien de sérieux, c’est pour s’amuser", explique-t-il avant d’affirmer que la vente est aussi l’occasion de faire une "apologie de la femme".

De nombreux collectionneurs sont attendus. "Il y a un marché considérable pour ce genre de vente. Aux Etats-Unis surtout, et en France un peu. Le plus connu, Pierre Lescure, a vendu sa collection il y a quelques années", explique Sylvie Robaglia, attachée de presse de la maison Cornette de Saint-Cyr. Qui, d’ordinaire, se place plutôt sur le créneau de l’art moderne et contemporain. "Cela change, oui, mais le thème de la pin-up est complémentaire, et les clientèles se recoupent", poursuit-elle.

En tout, 453 lots seront vendus. Les amateurs (ou trices) qui pourront épingler les photos ou dessins en vente ne seront assurément pas sans argent : il faut compter une centaine d’euros minimum pour les prix d’appel, et jusqu’à 12 000 euros pour les plus belles cotes. En guise de mise en scène, une exposition des objets mis en vente aura lieu le samedi. Quelques artistes seront présents, hormis Aslan, qui vit au Canada.

Et au risque d’en décevoir certains, a priori point de danseuses du Crazy Horse. Sylvie Robaglia aurait bien aimé que quelques-unes présentent elles-mêmes les objets lors de la vente, mais "le Crazy n’a pas voulu, regrette-t-elle. Ils ne veulent pas que leurs danseuses soient prises pour des potiches."

Source liberation.fr

Aslan Alain / Ensemble de 2 autocollants lot 13.

sensuel, brutal, impudique


La première gravure connue d'Henri Matisse est un autoportrait à la pointe sèche repris plusieurs fois entre 1900 et 1903. Il se présente de face, les lunettes sur le nez, l'air grave, presque inquiet. Trois ans plus tard, en 1906, il exécute trois gravures sur bois, qui figurent dans toutes les histoires du fauvisme : trois nus féminins sur une chaise longue. Les lignes sont épaisses et mettent en évidence les seins et les hanches du modèle, dont le visage et l'expression sont réduits à peu de traits. On a peine à croire que l'auteur méthodique et si sérieux de l'autoportrait puisse être celui de ces apologies brutales du corps féminin.

Ainsi commence l'exposition très dense et très révélatrice que la Fondation Mona Bismarck consacre à Matisse graveur. Quatre salles plus loin, elle finit sur une photo de Brassaï. On y voit Matisse âgé, barbe et blouse blanches, sévère, strict, archi-bourgeois, archi-professoral. Et derrière lui, dessinée à la craie, une caricature de lui-même dont il ne peut qu'être l'auteur et où il se présente en vieillard lubrique et ricaneur.

L'image est singulière. Et explicite : en Matisse, tout au long de sa vie, le satyre et le professeur, l'artiste érotique et le monsieur bien élevé se disputent le pouvoir. Le premier est animé par un désir impérieux d'aller à l'essentiel. Le second se dit qu'il serait mieux de ne pas aller trop loin et que la sublimation est préférable à la satisfaction immédiate. A de rares exceptions, celui-là perd la partie parce que la pulsion est la plus forte.

Peut-être à son insu, l'exposition démontre en effet principalement que la gravure de Matisse n'est qu'une longue et intense apologie du féminin. On y voit des lithos et des pointes sèches, souvent de petit format, que les rétrospectives négligent d'ordinaire, leur préférant grandes toiles et bronzes. A tort, car ces travaux sur papier, plus rapides et plus intimes, sont d'une part formidablement instructifs sur l'artiste et d'autre part, pour certains, des exercices de stylisation anatomique sidérants de franchise.

Ils ne peuvent être décrits qu'avec une égale franchise. On constate donc qu'en 1906, Matisse observe de très près un modèle dont les seins longs aux tétons pointus font sur lui une forte impression. Il est aussi visible que, vers 1914, pour lui, une tête féminine, ce sont essentiellement des lèvres et une chevelure, le regard n'ayant qu'une importance très relative.

Les années 1920, qu'il passe à Nice, ne sont pas plus pudiques. Matisse rivalise alors avec Renoir dans l'art de suggérer rondeurs et courbes - féminines naturellement. Rien ne le retient, pas même la crainte de tomber dans une imagerie de maison close passablement insistante, regards lourds et engageants, blouses ouvertes sur des poitrines libres et pantalons moulants, quand il y a des pantalons. Alors que sa peinture, dans cette période, est d'un postimpressionnisme assez tranquille, sa gravure va jusqu'à un réalisme myope et précis. Aucun détail ne manque, particulièrement anatomique. Ces odalisques plantureuses ne sont pas moins offertes que les coupes de fruits et les bouquets de fleurs disposés autour d'elles comme autant d'offrandes.

En 1907, Picasso avait peint Le Bordel philosophique - premier titre des Demoiselles d'Avignon. Vingt ans plus tard, Matisse réplique avec son bordel oriental, ses Demoiselles de Nice autrement dit.

Quand elles quittent l'atelier, les Danseuses acrobates entrent en scène, en 1931. Leur souplesse de femmes-serpents leur permet surtout de se renverser en arrière tout en ployant légèrement les jambes, de sorte que le triangle du ventre se trouve au centre du dessin. Cette série est loin d'être l'une des plus connues de Matisse. C'est cependant l'une de celles où il rejoint Rodin et retrouve la simplicité et les abréviations symboliques de l'art pariétal. L'une de ses lithos pourrait être le relevé d'une de ces gravures préhistoriques que l'abbé Breuil publiait alors. La même remarque vient à l'esprit devant les linogravures de 1938 : quelques longues sinuosités blanches sur un fond noir tracent encore et toujours ventres, cuisses, seins et épaules.

Pour le Matisse de ces années-là, tous les prétextes sont bons pour augmenter son catalogue de beautés. Une illustration pour Mallarmé, des planches pour Charles d'Orléans ou Baudelaire ? Des nus ou des signes du nu, inlassablement.

De temps en temps, il se reprend et se soucie de sa réputation. Il se montre alors en grand homme digne, costume, cravate. Le diable se fait même brièvement ermite le temps de quelques variations sur la Vierge et l'enfant et Saint Dominique pour la chapelle de Vence. Et revient aussitôt à Katia, Manon et Nadia, les adorables modèles dont il ne peut se passer.

une autre langue Matisse & la gravure / foundation mona bismarck - paris / jusqu'au 15 février 2011

Source lemonde.fr
La Frégate, 1938 par Henri Matisse

sounds good



La musique adoucit les moeurs, l'adage n'est pas nouveau. Ce qui l'est, en revanche, c'est que la musique procure aussi du plaisir, au sens scientifique du terme. C'est en tout cas ce que prouve une étude très sérieuse de l'université McGill de Montréal, au Canada. Ses chercheurs ont mis en évidence l'entrée en activité de la dopamine lorsqu'un morceau de musique atteint nos oreilles. Une découverte inattendue, la dopamine étant, en effet, un neurotransmetteur bien connu, mais identifié jusqu'ici comme servant à valoriser ou récompenser des plaisirs concrets, comme la nourriture, la prise de drogue ou le sexe. Plus généralement, cette molécule chimique est utile pour renforcer certains comportements indispensables à la survie.

Mais il s'avère donc que la musique entraîne également la sécrétion dans le cerveau de dopamine. Pour leur étude, les chercheurs ont fait appel à des personnes ayant déjà éprouvé des "frissons", signes de plaisir extrême, en écoutant de la musique. Deux cent dix-sept volontaires ont répondu à l'annonce. Les chercheurs en ont sélectionné une dizaine, âgés de 19 à 24 ans. À l'aide de différents appareils d'imagerie (TEP, IRM fonctionnelle), l'équipe de Valorie Salimpoor et Robert Zatorre a mesuré la sécrétion de dopamine et l'activité du cerveau lors de l'écoute d'un morceau. Parallèlement, des capteurs renseignaient sur le rythme cardiaque et respiratoire des volontaires, leur température ou des signes visibles de frissons de plaisir sur la peau.

Les résultats publiés dans la revue scientifique Nature Neuroscience montrent que la dopamine est secrétée à la fois par anticipation du plaisir lié à la musique écoutée et lors du "frisson" de plaisir lui-même, c'est-à-dire du pic émotionnel. Il s'agit de deux processus physiologiques distincts impliquant des zones différentes au coeur du cerveau. Lors du pic de plaisir, le noyau accumbens, impliqué dans l'euphorie liée à la prise de psychostimulants comme la cocaïne, est concerné. Juste avant l'écoute, par anticipation, l'activité de la dopamine est constatée dans une autre zone (noyau caudé). Le niveau de sécrétion de dopamine varie avec l'intensité de l'émotion et du plaisir, par comparaison aux mesures faites lors de l'écoute d'une musique "neutre", c'est-à-dire laissant les volontaires de marbre.

"Nos résultats contribuent à expliquer pourquoi la musique a une si grande valeur dans toutes les sociétés humaines", concluent les chercheurs. Ils permettent de comprendre "pourquoi la musique peut être efficacement utilisée dans des rituels, par le marketing ou dans des films pour induire des états hédoniques", ajoutent-ils. En parfaite harmonie.

Source lepoint.fr
Sony Walkman ad, circa 1982, Playboy men's magazine, USA.

lundi 10 janvier 2011

rip peter yates



Le réalisateur et producteur anglais Peter Yates est décédé dimanche 9 janvier à l'âge de 81 ans à la suite d'une longue maladie. Nommé quatre fois aux Oscars, il est surtout connu pour son talent de réalisateur avec notamment Bullitt (1968), La Bande des quatre (1972) ou encore Suspect dangereux (1987).
Diplômé de l'Académie royale d'art dramatique, c'est aux côtés du réalisateur Tony Richardson qu'il fait ses premiers pas en tant qu'assistant. Il réalise son premier film, Summer Holiday en 1963. La course-poursuite de Bullitt dans les rues de San Francisco avec Steve McQueen au volant d'une Ford Mustang reste l'une des plus célèbres du cinéma. Et l'une des préférées d'Encore avec son énigmatique mister McQueen yeah! Et si on partait à San Francisco bientôt et si on s'achetait une Mustang...

no pants subway ride

Tous les ans se tient l'opération "No Pants Subway Ride", qui consiste à se balader dans le métro sans jupe et sans pantalon.

Des centaines de New-Yorkais ont baissé jupes et pantalons dimanche dans le métro, une performance collective à caractère ludique organisée depuis 2002 et qui se tient désormais dans quelque 50 villes de 24 pays à travers le monde.

Les participants se sont retrouvés à 15 heures (21 heures en France) dans six points de ralliement à travers la ville, et ont d’abord longuement écouté, par des températures inférieures à 0°C, les organisateurs de la dixième édition du "No Pants Subway Ride" leur expliquer le mode d’emploi de la manifestation.

"Ce n’est pas illégal, et la police est là pour vous protéger, mais n’enlevez pas vos sous-vêtements!", a lancé un organisateur équipé d’un mégaphone au groupe d’environ 300 personnes qui prenaient le départ à Foley Square, près des tribunaux du sud de Manhattan.

"Et n’oubliez pas de ranger vos vêtements dans des sacs à dos", a-t-il ajouté, rappelant que lors d’une des premières éditions, des participants avaient perdu leurs pantalons ou jupes et avaient dû rentrer chez eux en caleçon ou culotte.

Dans l’assistance, le plus vieux était âgé de 76 ans, et les parents du plus jeune – neuf mois – ont brandi le bébé dans la poussette, sans préciser s’ils allaient le déshabiller dans le métro.

Les participants se sont ensuite engouffrés dans la station, ont enlevé le bas de leurs vêtements et sont entrés en caleçon, culotte ou slip dans les wagons en faisant comme si de rien n’était. La plupart des passagers semblaient désormais connaître l’événement et ne manifestaient ni surprise ni agacement, beaucoup souriaient. "Dans mon pays, en Russie, ce serait certainement interdit", notait Evgueni, un jeune homme travaillant à New York.

La manifestation s’est tenue dans d’autres villes américaines, Washington, Los Angeles et Chicago, et dans 24 pays au total.

Elle est organisée chaque année en janvier par le groupe "Improv Everywhere", basé à New York. En 2002, "No Pants Subway Ride" comptait sept participants, tous des hommes. Les femmes sont apparues à l’édition suivante. En 2006, huit personnes avaient été arrêtées et brièvement menottées, mais un juge avait prononcé un non-lieu un mois après.

Source AFP / liberation.fr

snapshot



snapshot blow up / 2009 exhibition ampers&vintage / beach beauty, circa 1960s / invasive, circa 1970s

love is not dead

















Our January show features sixteen found vintage polaroids taken by an anonymous photographer, likely in the 1980s. Put plainly, they whimsically chronicle the love making of two desktop skeletal anatomy models. The Polaroid camera has always been a useful tool for the amateur erotic photographer intent on maintaining his or her anonymity. In this case, we see the handiwork of a possibly bored yet mordantly active imagination. Assuming he or she wasn't just killing time, the photographs by this unknown photographer seem to suggest that love is not dead, even at its barest.

Source ampersandvintage.com

Found Polaroid Photography / 2916 NE ALBERTA ST, B - PORTLAND, OR / 8 Janvier au 23 janvier 2011

dimanche 9 janvier 2011

mister g


Un boomerang, comme son nom l'indique, c'est conçu pour revenir. De préférence dans les mains de celui qui l'a balancé. C'est à peu près ce qui va se produire, le 2 mars prochain : à l'occasion du 20ème anniversaire de la disparition de Serge Gainsbourg, sa maison de disques, Mercury, publiera un coffret rétro, avec une brochette d'inédits de l'homme à la tête de chou. Parmi les raretés exhumées, la version originale de "Comme un boomerang", écrite par Gainsbourg en 1975 pour la chanteuse Dani. Le titre avait été composé en vue du concours de l'Eurovision mais n'avait finalement pas été retenu. Gainsbourg en avait pourtant enregistré une version, restée dans les cartons jusqu'à aujourd'hui...Encore l'avait pourtant dégotée sur le net (superbe vidéo d'ailleurs de Gainsbourg arrivant au bras de Deneuve en fourrure vêtue pour Champs-Elysées) et publiée il y a quelques temps déjà sur l'ancien blog ainsi que la version boomerang interprétée par Jean-Claude Brialy dans le film Anna...des extraits restent visible sur le site de l'Ina.

mardi 4 janvier 2011

bon gros pigeons

Ah les mariages...n'oublions pas les droits et devoirs français rigolos et salauds du mariage, à savoir :

Les époux se doivent mutuellement "respect, fidélité, secours, assistance".
Les époux sont égaux en droit dans le mariage.
Les époux assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille et pourvoient à l’éducation des enfants afin de préparer leur avenir.
Les époux contribuent aux charges du mariage à proportion de leurs facultés respectives.
Chacun des époux peut passer seul des contrats qui ont pour objet l’entretien du ménage ou l’éducation des enfants.
Chacun des époux peut se faire ouvrir tout compte de dépôt (notamment comptes-chèques postaux, compte bancaire, livret d’épargne) et tout compte de titres en son nom personnel, sans le consentement de l’autre.
Obligation alimentaire due aux époux et par eux.
Les époux peuvent adopter un enfant à condition d’être mariés depuis au moins deux ans ou que l’un d’entre eux soit âgé de plus de vingt-huit ans.
Les époux sont soumis à l’obligation d’une communauté de vie.
Les époux sont personnellement imposables pour les revenus dont ils ont disposé pendant l’année de leur mariage et jusqu’à la date de celui-ci. À compter du mariage, ils sont soumis à une imposition commune pour les revenus perçus par chacun d’entre eux.

Après la jolie réception et sa pièce montée, puis les honoraires d'avocats ça finit par coûter cher les unions, les femmes ramassent le jackpot et peuvent avant de prendre congés de ces messieurs les remercier chaleureusement. Quant à Guy Ritchie lui il dit merci à la madonne.

harrison ford / $ 85 millions
steven spielberg / $ 100 millions
madonna / $ 70 millions
michael jordan / 150 millions €
kevin costner / $ 80 millions
sumner redson / 1,5 milliards €
tiger woods / 86 millions €
michael douglas / 28 millions €
tom cruise / 30 millions €
james cameron / 39 millions €
brad pitt / 47 millions €
paul mc cartney / 74 millions €

nos papys gays

Les homosexuels français ont beau frapper à toutes les portes, ils sont toujours à la recherche de la première maison de retraite "gay friendly" en France, comme il en existe beaucoup aux Etats-Unis.

Les homosexuels français ont beau frapper à toutes les portes, ils sont toujours à la recherche de la première maison de retraite "gay friendly" en France, comme il en existe beaucoup aux Etats-Unis.

"La génération des personnes homosexuelles arrivant à l'âge de la retraite est la première qui a pu vivre, durant sa vie active, son homosexualité de façon ouverte et elle n'entend pas changer d'attitude en arrêtant de travailler", argumente Philippe Coupé, président de l'association l'Autre cercle Ile-de-France.

Dans dix ans, la France comptera 20 millions de retraités, parmi lesquels 8 à 9% d'homosexuels, soit entre 1,5 à 2 millions de personnes, selon des estimations de l’Interassociative lesbienne, gaie, bi et trans (Inter-LGBT). Il existe environ 10.000 maisons de retraite dans l'Hexagone.

"Personne n'a pris en compte en France cette problématique retraite", souligne M. Coupé, notant la différence avec le secteur du tourisme qui avait par exemple réservé un espace gay et lesbien lors du Mondial du tourisme (MAP) à Paris en mars dernier.

"On a donc beaucoup cherché, notamment en Ile-de-France, on a écrit aux principales associations de maison de retraite, la FNADEPA (Fédération nationale des associations de directeurs d’etablissements et services pour personnes âgées) et l'AD-PA (Association des directeurs au service des personnes âgées) et on n'a pas eu de réponse", dénonce M. Coupé.

"On ne souhaite pas des maisons de retraites réservés uniquement à la communauté gay, comme cela existe en Amérique - bien que nous ne soyons pas opposés à ce concept - mais on souhaite une sensibilisation des personnels au fait que des personnes du même sexe partagent la même chambre, qu'il soient sensibilisés aux problèmes de santé touchant notamment les gays, comme le sida", poursuit ce responsable.

Interrogé par l'AFP, la directrice de la FNADEPA Françoise Toursiere a répondu "ne pas connaître de maison de retraite ad hoc" et se demande s'"il faut créer un ghetto supplémentaire".

A l'AD-PA, Pascal Champvert explique: "On se bat quotidiennement contre la discrimination par l'âge et on est naturellement sensible à l'homophobie. Nous rappelons souvent à nos personnels et à nos résidents l'article 13 du Traité d'Amsterdam qui condamne toutes les discriminations par l'âge, le racisme, l'homophobie, le handicap". M. Champvert a reconnu ne pas avoir répondu au courrier de l'association Autre cercle, mais se dit "prêt à les rencontrer".

Le porte-parole de l'Inter LGBT (qui regroupe 60 associations), Nicolas Gougain, entend "sensibiliser les candidats sur ce problème lors des prochaines élections cantonales". "Les conseils généraux gèrent des maisons de retraites, il faut sensibiliser les élus au problème de l'égalité réelle qui doit se penser pendant toutes les périodes de la vie", dit-il.

source AFP

lundi 3 janvier 2011

mini jupe bannie au sri lanka

Le gouvernement du Sri Lanka a annoncé ce lundi qu'il pensait à interdire le port de la mini-jupe. Dans cette île conservatrice de l'océan indien, le président Mahinda Rajapakse a mené plusieurs campagnes pour décourager la consommation de tabac et d'alcool. Il a également fait retirer toutes les publicités qui montraient des jeunes filles trop dévêtues.

De son côté, Nimal Rubasinghe, le secrétaire aux Affaires culturelles, a déclaré avoir reçu des délégations demandant d'interdire les mini-jupes en public. Il n'a cependant pas voulu dévoiler le nom des groupes représentés.

Un concert avait déjà été annulé l'année dernière car une star de R'n'B faisait danser de jeunes filles légèrement vêtues devant des une statue d'un Bouddha. Il s'agit maintenant de savoir quels groupes ont exigé la réglementation des codes vestimentaires et ce que le gouvernement en fera à plus long terme.